lundi, octobre 30, 2006

Mes envies de sabordage existent encore...

Je vous le cache, je me l’oublie, mais elle croupissent au fond de mon âme comme l’eau sale au fond d’une barrique. Il y a toujours en moi ces désirs de destruction inassouvis.

La plus belle preuve de ce que j’avance sont les réactions de mon conscient dégoûté. Si j’effleure du bout du doigt la moindre libération… si je n’ose qu’y rêver, même… Mon corps paralyse. Mon esprit se mutine. Mon cœur se ferme.

« Pas de réconfort pour toi. Pas de puissance non plus. »


---------------------------------------------------------
Oh ces mots... je ne pensais pas savoir les écrire...
Merci pour ton silence, ma tête.