dimanche, juillet 08, 2007

Et tu es apparu le lendemain...

Et tu es apparu le lendemain.
En plein milieu de mon après-midi férié, qui traînait en longueur tout en coulant doucement.


Et c'est là que tu as largué une bombe.
Bang.
    Pouf, pow, powf.
         (Bing, bong, splif.)
Frizzzzzz....
              Tsssssssssss....

  BOWWWM !


Et, encore une fois, j'aurais dû le savoir; c'était écrit dans le ciel : des traînées de fumée, grosses comme ça, contre le bleu sans nuage... Mais je n'ai rien vu venir.


C.E., pour quand la fin d'une histoire sans début ?
Tant pis. Obsède-moi...